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Nouvel événement du programme culturel à l’Ehpad Croix Rouge Russe à Nice en partenariat avec Realiz.
Chaque mois, un.e artiste plasticien.ne ou une compagnie issue du spectacle vivant est accueilli.e pendant une semaine à l’EHPAD de la Croix Rouge Russe. Durant cette semaine il/elle travaille sur son projet artistique mais réalise également une série d’ateliers à destination des résident.e.s volontaires mais également de leur famille ainsi qu’aux membres du personnel de la structure. Les travaux réalisés dans le cadre de cette action font l’objet d’un vernissage ouvert au public et sont ensuite exposés dans les locaux de l’EHPAD.
Comédien.ne.s, performeur.se.s, peintres, musicien.ne.s, marionnettistes, chanteur.se.s, photographes…
Plus de 10 artistes et 9 disciplines artistiques vont se croiser au 34 avenue Caravadossi, tout au long de
l’année 2023 donnant lieu à une dizaine d’évènements ouvert au tout public, pour que le partage soit total et les croisées, nombreuses.
Le 22 juin 2023 à 18h30 – Sortie de résidence, découverte des créations de Camille Chastang
Rendez-vous à l‘EHPAD La Croix Rouge Russe,
34 av. Caravadossi 06000 Nice
Restitution de résidence de l’artiste Camille Chastang dans le cadre de l’action culturelle et artistique Croisé.e.s à l’EHPAD, accompagnée par un duo clownesque composé de Nathalie Masséglia, alias Mazarine, et de Guillaume Geoffroy, alias Pétou.
Camille Chastang, plasticienne aux multiples pratiques artistiques, entre “dessin contemporain, dessin conceptuel, dessin hybride, dessin intermédia, dessin pluridisciplinaire”, s’attache tant au motif et au geste de création, qu’à la beauté et la force évocatrice des médiums, du crayon à l’encre de Chine, en passant par l’encre colorée et l’aquarelle.
« Animée par la volonté de déconstruire la hiérarchisation distinguant les arts dits « mineurs », souvent assignés aux artistes femmes, de ceux « majeurs », associés à leurs homologues masculins, Camille Chastang cultive le désir de (ré)concilier les arts décoratifs et les beaux-arts en déconstruisant la classification hégémonique des sujets et des médiums. En s’appropriant le motif, notamment floral, comme sujet, elle revendique son admiration pour les éléments décoratifs et explore le potentiel politique et féministe qu’ils représentent. » C. Ramana Rahary