Newsletter
Jacqueline Gainon, Tapisserie, 1991

Exposition

Jacqueline Gainon, Beauté convulsive

Jacqueline Gainon, Tapisserie, 1991

L’événement en images

1/7
  • Vues de l'exposition Beauté convulsive de Jacqueline Gainon, Galerie Eva Vautier, 2024 © Photos François Fernandez

    Vues de l'exposition Beauté convulsive de Jacqueline Gainon, Galerie Eva Vautier, 2024 © Photos François Fernandez

  • Vues de l'exposition Beauté convulsive de Jacqueline Gainon, Galerie Eva Vautier, 2024 © Photos François Fernandez

    Vues de l'exposition Beauté convulsive de Jacqueline Gainon, Galerie Eva Vautier, 2024 © Photos François Fernandez

  • Vues de l'exposition Beauté convulsive de Jacqueline Gainon, Galerie Eva Vautier, 2024 © Photos François Fernandez

    Vues de l'exposition Beauté convulsive de Jacqueline Gainon, Galerie Eva Vautier, 2024 © Photos François Fernandez

  • Vues de l'exposition Beauté convulsive de Jacqueline Gainon, Galerie Eva Vautier, 2024 © Photos François Fernandez

    Vues de l'exposition Beauté convulsive de Jacqueline Gainon, Galerie Eva Vautier, 2024 © Photos François Fernandez

  • Vues de l'exposition Beauté convulsive de Jacqueline Gainon, Galerie Eva Vautier, 2024 © Photos François Fernandez

    Vues de l'exposition Beauté convulsive de Jacqueline Gainon, Galerie Eva Vautier, 2024 © Photos François Fernandez

  • Vues de l'exposition Beauté convulsive de Jacqueline Gainon, Galerie Eva Vautier, 2024 © Photos François Fernandez

    Vues de l'exposition Beauté convulsive de Jacqueline Gainon, Galerie Eva Vautier, 2024 © Photos François Fernandez

  • Vues de l'exposition Beauté convulsive de Jacqueline Gainon, Galerie Eva Vautier, 2024 © Photos François Fernandez

    Vues de l'exposition Beauté convulsive de Jacqueline Gainon, Galerie Eva Vautier, 2024 © Photos François Fernandez

En 1987, lors d’une exposition chez Joachim Becker, le critique Jacques Lepage note : «Jacqueline Gainon accepte d’être peintre, d’apparaître traditionnelle, elle ne théorise pas, elle peint et ce qu’elle peint devient la peinture. La violence d’un monde en proie aux fureurs, l’angoisse du moment où l’homme se découvre destructible dans son essence même… »

Jacqueline Gainon
Beauté convulsive

Vernissage le vendredi 18 octobre 2024 à 18h
Exposition du 19 octobre au 28 novembre 2024

 

Depuis 1989, Jacqueline Gainon expose régulièrement son travail de peinture en France et à l’international. Ses œuvres figurent dans plusieurs collections publiques, notamment au Musée Picasso d’Antibes, au MAMAC (Nice), ainsi qu’aux musées de Cannes, Dunkerque, Toulon et Nantes.

Les œuvres de Jacqueline Gainon invitent le spectateur à une expérience intime, où se croisent souvenirs personnels et mythes collectifs, évoquant les échos de nos paradis perdus et de nos enfers. L’absence de narration explicite dans la peinture de l’artiste ouvre la voie à une résonance émotionnelle qui transcende le formalisme. Son art, résolument introspectif, tisse des liens entre passé et présent, quiétude et chute, lumière et obscurité.

Dans cette nouvelle exposition, Jacqueline Gainon explore la manière dont la répétition des formes et des motifs influence la perception esthétique. Ici, le sens de l’œuvre s’efface au profit de l’esthétique pure, qui devient un véritable sujet d’exploration. La répétition, loin d’être un simple exercice de redondance, se révèle être une force visuelle. Le motif se décline à l’infini, et chaque variation dévoile un nouveau détail, un éclat de lumière ou une subtilité, ce qui rend chaque toile unique. Pour l’artiste, la quête du beau prend le pas sur la signification, offrant ainsi au spectateur une expérience purement sensorielle.

À travers cette exposition, Jacqueline Gainon souhaite inviter le public à reconsidérer sa relation à l’art, en soulevant une question essentielle : La beauté peut-elle se suffire à elle-même dans un monde où l’on cherche sans cesse à donner du sens ? Ou bien, est-ce justement dans la contemplation du beau que nous découvrons un nouvel espace de réflexion ?

En savoir plus

À l’occasion du festival OVNi (Objectif Vidéo Nice) 2024, nous présenterons, à l’étage de la galerie, le film Sans titre (2011) de Natacha Lesueur tiré de sa série Carmen Miranda.