L’événement en images
S’il est toujours difficile de « nationaliser » la photographie, il y a, dans la carrière de certains photographes, des éléments qui font d’eux une caisse de résonance d’un moment, d’un lieu, d’une expérience. Harold Feinstein, à l’œuvre protéiforme, est de ceux-là.
Harold Feinstein et l’« expérience » américaine
S’il est toujours difficile de « nationaliser » la photographie, il y a, dans la carrière de certains photographes, des éléments qui font d’eux une caisse de résonance d’un moment, d’un lieu, d’une expérience. Harold Feinstein, à l’œuvre protéiforme, est de ceux-là. Dans le cadre de l’exposition « La roue des merveilles », Jean Kempf nous invite à découvrir ce que l’on nomme l’ « expérience américaine », celle d’un monde métropolitain et pluriculturel, perçu et capturé à travers les clichés d’Harold Feinstein.
Jean Kempf
Jean Kempf, professeur émérite d’histoire et civilisation des États-Unis à l’Université Lumière-Lyon 2 et au laboratoire CNRS Triangle, nous invite à découvrir ce que l’on nomme l’« expérience américaine », celle d’un monde métropolitain et pluriculturel, perçu et capturé à travers les clichés d’Harold Feinstein.
La roue des merveilles : Harold Feinstein
Harold Feinstein (1931-2015) ne peut se réduire à une série. Pendant soixante ans, régulièrement, le photographe revient sur son sujet préféré : Coney Island. La combinaison parfaite d’une biographie et d’une communauté. Cette exposition fait partie de la programmation des Rencontres d’Arles dans le cadre du Grand Arles Express.