Commissariat Julien Griffaud
Quand il est question de jeu en art, le public s’attend à être diverti, amusé, rarement dérangé. En apparence gratuit et futile, bien souvent relié à l’enfance, le jeu offre pourtant un remarquable outil créatif de subversion et de transgression, et les artistes, facétieux qu’ils sont, n’ont de cesse de réinventer de nouvelles conventions et manières de «jouer».
Nulle intention ici de proposer un inventaire des pratiques du jeu dans l’art ni de prétendre réinventer le sujet, mais plutôt d’infuser un certain « esprit » dans l’incontournable salon de l’hôtel Windsor…