L’événement en images
Curateur·ice·s : Étudiant·e·s du Master Sciences et Techniques de l’Exposition de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne : Annarosa Spina, Mikaël Camhaji, Jean-Baptiste Richebourg Accompagné·e·s de Christophe Viart, professeur à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne Scénographes : Étudiant·e·s du Pavillon Bosio : Ahmad Reshad, Claire Héraud, Marian Vignali, Maria-Magdalena David, Tetyana Nahaychuk, Héloïse Gallet, Illona Rougemond-Mosconi, Isaac Elbaz Accompagné·e·s […]
Curateur·ice·s : Étudiant·e·s du Master Sciences et Techniques de l’Exposition de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne : Annarosa Spina, Mikaël Camhaji, Jean-Baptiste Richebourg
Accompagné·e·s de Christophe Viart, professeur à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Scénographes : Étudiant·e·s du Pavillon Bosio : Ahmad Reshad, Claire Héraud, Marian Vignali, Maria-Magdalena David, Tetyana Nahaychuk, Héloïse Gallet, Illona Rougemond-Mosconi, Isaac Elbaz
Accompagné·e·s de Laurent P. Berger, Renaud Layrac et Mathilde Roman, professeur.e.s au Pavillon Bosio
Prenant place au sein du Pavillon Bosio du 31 mars au 6 avril, Tout le reste n’est que bruit invite à d’autres imaginaires dans une déambulation rythmée autour d’un pavillon sonore qui accompagne la contemplation des peintures. De moment individuel, l’exposition devient espace collectif. Cet aperçu de la collection de Bernard Massini est teinté de mélancolie, de douceur et de violence. Neurochirurgien de profession, le collectionneur est attiré par des tableaux qui évoquent toute la force et la beauté de la condition humaine. Si l’art ne peut guérir, il a la capacité de proposer un ailleurs. De manière consciente ou non, il agit sur notre esprit. Tout le reste n’est que bruit souligne la complémentarité de la scénographie et des pratiques curatoriales, ici rendue possible par ce partenariat pédagogique. Les étudiant·e·s ont ainsi réalisé un voyage synesthésique expérimental et ambitieux questionnant le rôle de l’art, de la sublimation du réel à la dépiction de nos torsions jusqu’à la porosité des êtres et la solitude de ceux qui restent.