L’événement en images
Les nouveaux Baldu sont arrivés !
Double release party !
15h / 19h
Les nouveaux Baldu sont arrivés !
15h / 19h
Les nouveaux Baldu sont arrivés !
Didier Balducci et Philippe Nicole : TB Jerck XXX
– Une étude de la graphomanie vinylique (MTE18) Format 21X21 cm – 256 pages dont 160 en couleurs – 18€
– Une étude de la graphomanie vinylique (MTE18) Format 21X21 cm – 256 pages dont 160 en couleurs – 18€
« Graphomanie : La graphorrhée (graphomanie ou scribomania ; du grec γραφειν — « écrire » et μανία — folie) désigne une impulsion irrésistible d’écrire.
Comme nous, j’en suis certain, vous les collectionnez et vous êtes fascinés par ces pochettes de disques sur lesquelles leur propriétaire a écrit (ou dessiné), des poèmes, des lettres d’amour, des réflexions hautement philosophiques, des mini-chroniques musicales, des obscénités, des signes Peace & Love ou des croix gammées… Ce livre en reproduit et en commente doctement plus d’une centaine, tirées de la collection des auteurs, et il comprend également de longs chapitres décrivant ce phénomène et son histoire, plus une partie (là aussi richement illustrée) spécialement consacrée aux disques portant la mention « Très bon jerk » (ou « Très bon djerk », ou « Très bon jerck », ou « TBJ », ou « jerk XXX » et parfois même ce « TB Jerck XXX » qui donne son titre à cet ouvrage) et une autre dédiée à la collection de l’illustre Ravina, un véritable mythe dans la région niçoise pour la quantité phénoménale de disques marqués de son sceau que l’on pouvait trouver ici pendant des lustres.
Après Carros mon ami, consacré à la ville nouvelle de Carros-le-Neuf, diamant noir de la Côte d’Azur, et Mondo Elvis, suite d’essais sur le King, un indispensable troisième livre dans la prestigieuse collection Les Archives du Monde Moderne !
Didier Balducci : Le Rock’n’roll est mort mais son cadavre encombre le monde
(MT017) Format 11X18 cm – 288 pages- 14€
(MT017) Format 11X18 cm – 288 pages- 14€
Pourquoi un livre déprimant ? Parce qu’un livre parlant de rock’n’roll en 2023 est forcément déprimant. Spécialement quand, durant deux chapitres, il nous explique que le rock’n’roll, le vrai, celui de Vince Taylor et d’Alan Vega, est moribond, ou en état de mort clinique, ou qu’il n’est plus que l’ombre de lui-même, ou la sinistre parodie de ce qu’il fut autrefois… Heureusement, entre ces deux chapitres désolants et pénibles s’est glissé un troisième, beaucoup plus long, également un peu élégiaque et mélancolique, forcément, mais qui est essentiellement, lui, une ode enflammée au rock’n’roll et à sa magie surnaturelle, à l’innocence et à la passion, au pouvoir fascinant de l’électricité, écrit sous la forme d’un interminable chapelet de souvenirs épars et essentiellement adolescents.
Un livre déprimant, énervant, provocant – et même révoltant, parfois – mais également – espérons-le – excitant et intellectuellement stimulant (quelle prétention !).