Exposition
OVERLAPS : LA SUITE
Exposition de céramiques de Daphné Corregan Dans le cadre de l’exposition personnelle OVERLAPS de Daphne CORREGAN au Musée Jean Cocteau de Menton du 17 octobre 2014 au 9 février 2015, La galerie Sandrine Mons présente pour la première fois dans l’espace Loft de Cannes le travail de la céramiste américaine Daphne Corregan. Après plusieurs projets et exposition […]
Exposition de céramiques de Daphné Corregan
Dans le cadre de l’exposition personnelle OVERLAPS de Daphne CORREGAN au Musée Jean Cocteau de Menton du 17 octobre 2014 au 9 février 2015, La galerie Sandrine Mons présente pour la première fois dans l’espace Loft de Cannes le travail de la céramiste américaine Daphne Corregan.
Après plusieurs projets et exposition à Nice et à Paris depuis 2007, la perspective d’une exposition au très beau Musée Jean Cocteau de Menton à amener l’artiste et la galerie à se rejoindre sur une proposition plus intime en parallèle à l’accrochage au Musée.
Daphne Corregan puise, elle aussi, son inspiration dans les traditions ancestrales de la céramique, mais également dans l’art contemporain et l’architecture, ainsi que dans les cultures populaires et savantes qu’elle découvre lors de ses nombreux voyages au Mexique, au Burkina-Faso, au Mali, en Chine ou en Corée du Sud. Les motifs, les couleurs, les odeurs, les pensées de ces différentes cultures viennent enrichir son oeuvre et nourrir son style. Sa céramique n’est ainsi cloisonnée ni dans les procédés, ni dans l’esthétique.
Daphne Corregan travaille sur des ensembles de têtes jumelées, de pièces murales ou de volumes anthropomorphes, ces combinaisons de formes semblant communiquer entre elles. Un dialogue s’instaure ainsi entre les œuvres, mais aussi entre l’objet et l’espace, l’objet et le socle, la forme et le décor, le créateur et le spectateur et entre les différentes cultures qui inspirent l’artiste. Cette coïncidence, ce chevauchement d’idées, d’approches et de cultures revisitées par l’artiste, donne son titre à l’exposition « Overlaps ».
« Je peux être particulièrement sensible à la présence d’un objet, par son usage et la forme qui en découle, par sa matière, par sa connexion à l’homme en général et les traces de son utilisation. Je cherche à interpeller le spectateur par cette même présence dans mes propres propositions et par une perception parfois troublée par le métissage de mes sources. »
Daphne Corregan