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Les Visiteurs du Samedi

Les Visiteurs du Samedi 28 septembre 2019

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  • Visite de l’Espace Rossetti par Isabelle Sordage, artiste et directrice du lieu © Evelyne Creusot

    Visite de l’Espace Rossetti par Isabelle Sordage, artiste et directrice du lieu © Evelyne Creusot

  • Visite de l’Espace Rossetti © Philippe Pallanti

    Visite de l’Espace Rossetti © Philippe Pallanti

  • Visite de l’Espace Rossetti par Isabelle Sordage, artiste et directrice du lieu © Evelyne Creusot

    Visite de l’Espace Rossetti par Isabelle Sordage, artiste et directrice du lieu © Evelyne Creusot

  • Visite de l’, Espace Rossetti par Isabelle Sordage, artiste et directrice du lieu © Evelyne Creusot

    Visite de l’, Espace Rossetti par Isabelle Sordage, artiste et directrice du lieu © Evelyne Creusot

  • Visite de l’Espace Rossetti par Isabelle Sordage, artiste et directrice du lieu © Philippe Pallanti

    Visite de l’Espace Rossetti par Isabelle Sordage, artiste et directrice du lieu © Philippe Pallanti

  • Visite de l’exposition « Le diable au corps. Quand l’Op Art électrise le cinéma » au Musée d’art moderne et d’art contemporain de Nice, par Alix Doyen, médiatrice © Evelyne Creusot

    Visite de l’exposition « Le diable au corps. Quand l’Op Art électrise le cinéma » au Musée d’art moderne et d’art contemporain de Nice, par Alix Doyen, médiatrice © Evelyne Creusot

  • Visite de l’exposition « Le diable au corps. Quand l’Op Art électrise le cinéma » au Musée d’art moderne et d’art contemporain de Nice, par Alix Doyen, médiatrice © Philippe Pallanti

    Visite de l’exposition « Le diable au corps. Quand l’Op Art électrise le cinéma » au Musée d’art moderne et d’art contemporain de Nice, par Alix Doyen, médiatrice © Philippe Pallanti

  • Visite de l’exposition « Le diable au corps. Quand l’Op Art électrise le cinéma » au Musée d’art moderne et d’art contemporain de Nice, par Alix Doyen, médiatrice © Evelyne Creusot

    Visite de l’exposition « Le diable au corps. Quand l’Op Art électrise le cinéma » au Musée d’art moderne et d’art contemporain de Nice, par Alix Doyen, médiatrice © Evelyne Creusot

  • Visite de l’exposition « Le diable au corps. Quand l’Op Art électrise le cinéma » au Musée d’art moderne et d’art contemporain de Nice, par Alix Doyen, médiatrice © Philippe Pallanti

    Visite de l’exposition « Le diable au corps. Quand l’Op Art électrise le cinéma » au Musée d’art moderne et d’art contemporain de Nice, par Alix Doyen, médiatrice © Philippe Pallanti

  • Visite de l’exposition « Le diable au corps. Quand l’Op Art électrise le cinéma » au Musée d’art moderne et d’art contemporain de Nice, par Alix Doyen, médiatrice © Evelyne Creusot

    Visite de l’exposition « Le diable au corps. Quand l’Op Art électrise le cinéma » au Musée d’art moderne et d’art contemporain de Nice, par Alix Doyen, médiatrice © Evelyne Creusot

  • Visite de l’exposition « Le diable au corps. Quand l’Op Art électrise le cinéma » au Musée d’art moderne et d’art contemporain de Nice, par Alix Doyen, médiatrice © Evelyne Creusot

    Visite de l’exposition « Le diable au corps. Quand l’Op Art électrise le cinéma » au Musée d’art moderne et d’art contemporain de Nice, par Alix Doyen, médiatrice © Evelyne Creusot

  • Visite de la Villa Arson, par Auréliane Lombardo © Evelyne Creusot

    Visite de la Villa Arson, par Auréliane Lombardo © Evelyne Creusot

  • Installation « Fucking Perfect Body Double 36 » de Brice Dellsperger, à la Villa Arson © Evelyne Creusot

    Installation « Fucking Perfect Body Double 36 » de Brice Dellsperger, à la Villa Arson © Evelyne Creusot

  • Installation « Fucking Perfect Body Double 36 » de Brice Dellsperger, à la Villa Arson © Evelyne Creusot

    Installation « Fucking Perfect Body Double 36 » de Brice Dellsperger, à la Villa Arson © Evelyne Creusot

  • Marvin Gaye Chetwynd, Bat Opera, 2013 (détail). Huile sur toile papier, deux parties, 24.1 x 29.3 x 2.1 cm. © Monster Chetwynd. Courtoisie Sadie Coles HQ, Londres

    Marvin Gaye Chetwynd, Bat Opera, 2013 (détail). Huile sur toile papier, deux parties, 24.1 x 29.3 x 2.1 cm. © Monster Chetwynd. Courtoisie Sadie Coles HQ, Londres

  • Visite de l’exposition « Monster Rebellion » de Monster Chetwynd à la Villa Arson, par Auréliane Lombardo © Philippe Pallanti

    Visite de l’exposition « Monster Rebellion » de Monster Chetwynd à la Villa Arson, par Auréliane Lombardo © Philippe Pallanti

  • Visite de l’exposition « Monster Rebellion » de Monster Chetwynd à la Villa Arson, par Auréliane Lombardo © Evelyne Creusot

    Visite de l’exposition « Monster Rebellion » de Monster Chetwynd à la Villa Arson, par Auréliane Lombardo © Evelyne Creusot

  • Visite de l’exposition « Monster Rebellion » de Monster Chetwynd à la Villa Arson, par Auréliane Lombardo © Evelyne Creusot

    Visite de l’exposition « Monster Rebellion » de Monster Chetwynd à la Villa Arson, par Auréliane Lombardo © Evelyne Creusot

  • Visite de l’exposition « Monster Rebellion » de Monster Chetwynd à la Villa Arson, par Auréliane Lombardo © Evelyne Creusot

    Visite de l’exposition « Monster Rebellion » de Monster Chetwynd à la Villa Arson, par Auréliane Lombardo © Evelyne Creusot

  • Visite de l’exposition « Monster Rebellion » de Monster Chetwynd à la Villa Arson, par Auréliane Lombardo © Evelyne Creusot

    Visite de l’exposition « Monster Rebellion » de Monster Chetwynd à la Villa Arson, par Auréliane Lombardo © Evelyne Creusot

  • Visite de l’exposition « Monster Rebellion » de Monster Chetwynd à la Villa Arson, par Auréliane Lombardo © Evelyne Creusot

    Visite de l’exposition « Monster Rebellion » de Monster Chetwynd à la Villa Arson, par Auréliane Lombardo © Evelyne Creusot

  • Verre de fin de parcours à la Villa Arson © Evelyne Creusot

    Verre de fin de parcours à la Villa Arson © Evelyne Creusot

Espace Rossetti
MAMAC
Villa Arson

13h45-14h45 : Espace Rossetti

Depuis 2018, l’Atelier Expérimental propose une antenne niçoise, un local de 100 m2 situé 21 rue droite : l’« ESPACE ROSSETTI ». En plus d’initier de nouvelles expériences, des cartes blanches sont offertes aux jeunes artistes.

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15h-16h : Le MAMAC

Au début des années 1960, l’art cinétique s’impose partout en Europe avec un double crédo : déstabiliser la perception et démocratiser l’art. Peintures à illusions d’optique, reliefs à lumière motorisés, et environnements à vertige offrent des expériences de plaisir et d’inconfort. Baptisé « Op Art » en 1964, cet art d’avant-garde, si populaire, rencontre un succès retentissant auprès du grand public. Art du mouvement et de la lumière, le cinéma est, quant à lui, à la fois un prédécesseur, apte à sublimer ses jeux visuels, et un suiveur, qui cherche à le vampiriser par désir de modernité.

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16h30-17h30 : Villa Arson

Exposition « Monster Rebellion » de Monster Chetwynd : Le monde de l’artiste Monster Chetwynd est peuplé de créatures étranges, d’êtres hybrides, tous dotés de personnalités singulières. Comme son prénom l’indique, l’artiste assume toutes les formes de la monstruosité : l’anormal, le difforme, l’exagération, l’extraordinaire, l’horrifiant, l’absurde, l’outrancier, le prodigieux ou le terrible. La monstruosité, puits sans fond pour l’imaginaire.

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Installation « Fucking Perfect Body Double 36 » de Brice Dellsperger : Fucking Perfect. C’est la mode de l’aérobic dans les années 80 ! Perfect de James Bridges sort en 1985. Ce film montre avec superficialité les relations humaines dans les clubs de gym de Los Angeles, vues par les yeux d’un journaliste (John Travolta) qui tombe sous le charme d’une coach de gym au look androgyne (Jamie Lee Curtis).

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+ Verre de fin de parcours à la Villa Arson jusqu’à 18h


Accompagnatrice : Elsa Comiot – 06 64 13 22 29 – info@beta.zasu8607.odns.fr