Exposition
LE RÉFLEXE DU PARACHUTE
Emmanuel Régentdu 3 septembre au 22 octobre 2011vernissage le 3 septembre 2011 à partir de 18h Emmanuel Régent construit une oeuvre polymorphe. Dans ses dessins, volumes et peintures, il propose «des espaces de projections ouverts, des espaces de suppositions, de divagations, de dispersions…». […]
Emmanuel Régent
du 3 septembre au 22 octobre 2011
vernissage le 3 septembre 2011 à partir de 18h

Emmanuel Régent Nébuleuse (étude), 2010
acrylique sur bois 25 x 20 cm Collection privée
Emmanuel Régent construit une oeuvre polymorphe. Dans ses dessins, volumes et peintures, il propose «des espaces de projections ouverts, des espaces de suppositions, de divagations, de dispersions…».
Tout comme ses dessins davantage repérés, son travail de peinture questionne la disparition de la figure.
Il peint des séries de plantes (Diffenbachia 1998) ou de portraits qui se devinent entre les couches de couleurs monochromes (Portraits 2000/2006). Ses peintures plus récentes (Nébuleuses 2010) sont influencées par les rendus numériques des scanners, des vues spatiales et autres images issues des nouvelles technologies où la colorimétrie est une reconstitution, une interprétation à des fins utilitaire. A travers une pratique « classique » de la peinture, il recouvre sa toile de strates successives de couleurs monochrome au rouleau, puis abrase la surface à la ponceuse pour faire apparaître la couleur au plus profond de l’oeuvre. Ainsi la peinture devient elle-même matière à sculpter.
Il peint des séries de plantes (Diffenbachia 1998) ou de portraits qui se devinent entre les couches de couleurs monochromes (Portraits 2000/2006). Ses peintures plus récentes (Nébuleuses 2010) sont influencées par les rendus numériques des scanners, des vues spatiales et autres images issues des nouvelles technologies où la colorimétrie est une reconstitution, une interprétation à des fins utilitaire. A travers une pratique « classique » de la peinture, il recouvre sa toile de strates successives de couleurs monochrome au rouleau, puis abrase la surface à la ponceuse pour faire apparaître la couleur au plus profond de l’oeuvre. Ainsi la peinture devient elle-même matière à sculpter.