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Exposition, Festival, Projection

THE FLAG, de Cora von Zezschwitz, dans le cadre du festival OVNi

De 14h à 19h A l’hôtel Victoria, 33 bd Victor Hugo à Nice Une programmation du D.A.C. Dolceacqua Arte Contemporanea     Le drapeau est utilisé comme un signe, un signal ou un symbole de quelque chose, il est également utilisé comme un emblème d’un pays particulier. Il est utilisé pour attirer l’attention comme indicateur, […]

De 14h à 19h

A l’hôtel Victoria, 33 bd Victor Hugo à Nice

Une programmation du D.A.C. Dolceacqua Arte Contemporanea

 

 

Le drapeau est utilisé comme un signe, un signal ou un symbole de quelque chose, il est également utilisé comme un emblème d’un pays particulier. Il est utilisé pour attirer l’attention comme indicateur, il est utilisé pour indiquer une condition ou pour stimuler une réaction particulière.

L`image radicale et simple le FLAG est une feuille de plastique formée et façonnée par une force ‘invisible’, suggérant une transparence et inspirant la pensée de l’infini en mouvement. La ‘visualisation’ artistique de cet ‘espace’ aborde la dualité de la matière et de l’immatériel, de défini et le flou, ainsi que le mouvement et l’émotion, évoquant ainsi un espace où rien ne reste immobile, où le flux du temps se manifeste et se confond avec l’expérience vécue et la pensée libre.

Cette vidéo est accompagnée de la création sonore de CHRISTIAN VIALARD. Tout en améliorant le volume visuel, il ajoute d’autres dimensions au flux visuel.


L’OEUVRE DE CORA VON ZEZSCHWITZ

 

Les travaux de Cora von Zezschwitz sont une exploration des espaces en mouvement qui se déplient au fur et à mesure que l’on les découvre. Ces installations dans l’espace, incitent toujours à une interactivité participative qui appelle le spectateur à s’approprier une dimension polysémantique.

Elle s’intéresse à créer des émotions forte à travers des objets connotés, qu’elle utilise comme matière de construction. Les mises en espaces questionnent souvent les tensions sous-entendues, la verticalité et les forces qui évoquent une mutation formelle.

Son parcours national et international s’est construit par diverses manières de questionner l’espace ouvert et son appropriation par l’individu. Elle a toujours voulu apporter à l’esthétisme une atmosphère surprenante, propice à la réflexion par le biais d’un contraste, d’une interaction ou de la dérision.

Son travail s’est illustré au travers de diverses galeries, centres d’art contemporain, appels à projet remportés et participations à des résidences d’artistes.