Newsletter

Exposition

Le diable au corps. Quand l’Op Art électrise le cinéma

1/1
  • Henri-Georges Clouzot, Serge Bromberg et Ruxandra Medrea L’Enfer d’Henri-Georges Clouzot, 2009. Rushes tirés du film de Clouzot, L’Enfer, 1964 Photogramme © 2009 Lobster Films/France 2 Cinema – Avec l’autorisation de mk2 films

    Henri-Georges Clouzot, Serge Bromberg et Ruxandra Medrea L’Enfer d’Henri-Georges Clouzot, 2009. Rushes tirés du film de Clouzot, L’Enfer, 1964 Photogramme © 2009 Lobster Films/France 2 Cinema – Avec l’autorisation de mk2 films

  Dans le cadre de Nice 2019 : L’Odyssée du cinéma. La Victorine a 100 ans 2ème étage du musée Au début des années 1960, l’art cinétique s’impose partout en Europe avec un double crédo : déstabiliser la perception et démocratiser l’art. Peintures à illusions d’optique, reliefs à lumière motorisés, et environnements à vertige offrent des […]

 

Dans le cadre de Nice 2019 : L’Odyssée du cinéma. La Victorine a 100 ans
2ème étage du musée

Au début des années 1960, l’art cinétique s’impose partout en Europe avec un double crédo : déstabiliser la perception et démocratiser l’art. Peintures à illusions d’optique, reliefs à lumière motorisés, et environnements à vertige offrent des expériences de plaisir et d’inconfort. Baptisé « Op Art » en 1964, cet art d’avant-garde, si populaire, rencontre un succès retentissant auprès du grand public. Art du mouvement et de la lumière, le cinéma est, quant à lui, à la fois un prédécesseur, apte à sublimer ses jeux visuels, et un suiveur, qui cherche à le vampiriser par désir de modernité.